Ancienne agricultrice à Plouguernevel, et atteinte de la maladie de Parkinson, depuis 2011; Gisèle Garreau a en 2019 réussi à faire reconnaître sa maladie en maladie professionnelle.
Indemnisée à hauteur de 206€ par mois aujourd’hui, elle conteste son taux d’Incapacité permanente partielle (IPP), fixé à 25 % par le Fonds d’Indemnisation des victimes des pesticides (FIVP) de l’Assurance maladie.
N’ayant pas eu de réponse de l’assurance maladie elle a saisi le TASS (Tribunal des affaires sanitaires et sociales) de Saint Brieuc, son audience s’est déroulée le 25 janvier dernier.
A l’issue de celle-ci; dont le délibéré sera rendu au 31 mars, le tribunal se dirigerait vers une nouvelle expertise auprès d’un expert-neurologue.
Épaulée par le collectif de soutien au victimes des pesticides de l’Ouest, par d’autres victimes et par des amis, elle mène un combat rendu encore plus difficile par la maladie.